« Pascal le hardeur » dit le Prez, le brac des bons mots (président )
Parolier et chanteur. Guitare si il est bien luné (donc presque plus jamais), maracas, sifflets brésiliens et petits trucs bizarres offerts par sa femme qu’on se demande si c’était pas pour l’intimité…
C’est l’initiateur du Be, sa chapelle monstrueuse est un must où l’on vient s’échouer à Malo pour une version acoustique de nos nouvelles chansons ( dites- lui pas qu’on vient surtout pour le potch de sa belle mère et les bottes de sa femme).
« Bernard peulemeuche » ( secrétaire)
Batteur, bûcheron délicat.
Le Prez dit qu’il en a beaucoup sous le bonnet (peulemeuche). D’ailleurs y a qu’à voir ses références de chansons sur lesquels il a réécrit des textes : Gainsbourg, Bashung, Piaf, Brassens, Mac Cartney… que du lourdingue.
Il fait croire à sa femme qu’il est sobre c’est pour ça qu’il nous ramène souvent dans son auto. Un jour la police viendra chez lui et alors sa femme lui jouera du rouleau à pâtisserie sur sa grosse caisse.
Quand il va au bistrot il dit qu’il fait des études de sociologie comme ça il peut parler à tout le monde et se faire payer à boire.
« Guigui la pinte » ( trésorier)
La description du bonhomme et de son titre sont une contradiction en soi.
Dés qu’on veut mettre des sous de côté on constate qu’il y a un trou. Un jour on comprendra que le trou c’est lui…
Basse et guitare contrariée : y trop de guitaristes alors il se sacrifie à la basse en noyant son chagrin dans la Troll (à consommer avec délices et modération)
Il fait une chapelle argentine exceptionnelle à Malo où sa femme qui est de Buenos Aires ramène ses copines hispanisantes (aaaaahhhh…gargle !!!). Comme ils disent là bas « Oye que tal » (ben qu’est-ce ça dit, les filles)
Max Zoubiloute :
Guitariste, ingénieur son, batteur émérite, fils du Prez.
Le genre de gendre idéal : belle gueule d’amour, doué à tous les instruments, jeune « profil surfeur », drôle sans être lourd, gentil que tu te demandes comment c’est le fils de son père… Bref , énervant pour la vieille garde parce que pour les filles, on ressemble à rien à côté.
Clément le black boy :
Clavier et mini percus
La banane permanente, le bonheur comme si vous étiez. L’autre fils du Prez aussi beau gosse que son frangin ( donc aussi enervant pour la vieille garde..). Une crème de la crème, connu pour sa célèbre introduction des « Nénettes » (c’est une chanson pas un jeu de mot !) et son final façon teletubbies.
Il ne boit plus en cachette de son père, ce qui est une rébellion insupportable et qui nous fait craindre qu’un jour, il oublie son concert.
Donato dit le chinois :
Metteur en son et en image, bassiste contrarié (et souvent malade). Inventeur des décors, de l’hymne à la bière (rien que pour ce titre on lui sera redevable à vie).Toujours élégant, charmeur mais capable d’écrire les pires grossièretés. Sous cette gueule d’ange se cache vraisemblablement un pervers à poupée. Toujours prêt à dégainer son calibre (private joke de théatre).
Martial, le crooner/ rider dit « el vice » président (président du vice)
Chant contre chant, danse et contredanse. Parolier sur les chansons guimauves et tropicales. Inventeur du concept « membre bien faite » qui constitue un collège de l’association. Depuis il colle des autocollants sur le sein gauche des jolies filles en échange d’un zot’che de carnaval et il les inscrit comme membre en demandant leur 06...Que de la gueule…Il essaye d’écrire l’histoire du BE pour pas qu’on oublie the good things of life (arrêtez de chambrer les mecs :c’est style ! nan ? bon d’accord) .
En guest on s’accompagne de musicos, campeurs de Tourcoing, Lille et environs:
Coco Manufrance qui joue de la guitare comme les dribbles à Rocheteau et son frère Ben J qu’on va baptiser en 2012.
Ludo grande Bastringue qui nous emmerde avec sa contrebasse dans la bagnole
Thibaud, l’roubaisien : qui continue les solos alors qu’on a fini