Tambour-major, « le matin j'y pense... »
Le Journal Le Phare du mercredi 02.02.2011
Son agenda est chargé. Son téléphone crépite, et il remercie son entourage d'être si compréhensif avec sa nouvelle vie.
Grégory Miserole devient un personnage. S'inscrivant dans une longue lignée malouine, Goliath VIII succède à Roger Turck.
Le Coudekerquois aura déposé sa candidature à plusieurs reprises. Le « déclic », raconte-t-il, remonte au mariage de son frère Sébastien, en 2002, quand la belle-mère lui réalise un costume de tambour-major. C'était parti pour un chachut de minuit, avec une bande de copains. « Aujourd'hui, je vis un conte de fées », concède-t-il, enthousiaste. « C'est la plus belle des distinction dans le monde du carnaval. La plus belle chose qui m'ait arrivé après mon mariage et la naissance de ma fille ».
Sera-t-il stressé le 5 février, jour de son intronisation... il s'en défend. Avec l'habit, la première sortie, avec ses confrères tambours-majors, s'effectuera le 12 février au lancement du carnaval sur Coudekerque-Branche. Un détour au carnaval enfantin du Méridien le 12 mars, et le grand plongeon se produira le lendemain, le 13 mars : « la bande de Malo. A 15h, place Schapman : allez on y va ! Ça va faire drôle ! ».
Le carnaval, comme Pascal Boone, un ami croisé à l'harmonie, tambour comme lui, il y est venu par la musique. « Musiciens, carnavaleux, rien ne va sans l'autre. Moi, j'ai choisi ma vocation ». Il aura mis une année pour s'imprégner de l'ambiance. Sans être "officiel", il aura suivi les bandes au départ de la Basse-Ville, Dunkerque, Rosendaël, Malo et Bergues. « Ça m'a plu tout de suite. Et puis cela a démarré sur les chapeaux de roues, cette intégration. J'étais très motivé, je le suis encore entièrement ».
« Les premiers pas, je crois que cela sera difficile. C'est une lourde responsabilité quand même : on représente la ville. On se gardera de ne pas trop s'égarer dans les musiques. Du traditionnel ! Après, la plupart des musiciens je les connais... ». Rien ne semble arrêter la motivation de Goliath VIII.
Le Coudekerquois aura déposé sa candidature à plusieurs reprises. Le « déclic », raconte-t-il, remonte au mariage de son frère Sébastien, en 2002, quand la belle-mère lui réalise un costume de tambour-major. C'était parti pour un chachut de minuit, avec une bande de copains. « Aujourd'hui, je vis un conte de fées », concède-t-il, enthousiaste. « C'est la plus belle des distinction dans le monde du carnaval. La plus belle chose qui m'ait arrivé après mon mariage et la naissance de ma fille ».
Sera-t-il stressé le 5 février, jour de son intronisation... il s'en défend. Avec l'habit, la première sortie, avec ses confrères tambours-majors, s'effectuera le 12 février au lancement du carnaval sur Coudekerque-Branche. Un détour au carnaval enfantin du Méridien le 12 mars, et le grand plongeon se produira le lendemain, le 13 mars : « la bande de Malo. A 15h, place Schapman : allez on y va ! Ça va faire drôle ! ».
Le carnaval, comme Pascal Boone, un ami croisé à l'harmonie, tambour comme lui, il y est venu par la musique. « Musiciens, carnavaleux, rien ne va sans l'autre. Moi, j'ai choisi ma vocation ». Il aura mis une année pour s'imprégner de l'ambiance. Sans être "officiel", il aura suivi les bandes au départ de la Basse-Ville, Dunkerque, Rosendaël, Malo et Bergues. « Ça m'a plu tout de suite. Et puis cela a démarré sur les chapeaux de roues, cette intégration. J'étais très motivé, je le suis encore entièrement ».
« Les premiers pas, je crois que cela sera difficile. C'est une lourde responsabilité quand même : on représente la ville. On se gardera de ne pas trop s'égarer dans les musiques. Du traditionnel ! Après, la plupart des musiciens je les connais... ». Rien ne semble arrêter la motivation de Goliath VIII.